En quelques semaines, 6 femmes ont été tuées au #Burundi pour avoir osé exister, s’exprimer ou simplement vivre. À cela s’ajoutent plusieurs viols impunis, souvent commis par des membres de la jeunesse du parti au pouvoir. Silence, impunité, terreur.
Anitha, tuée pour avoir refusé un mariage abusif. Rosette, étranglée pour avoir pris la parole. Vénantie, assassinée pour avoir gagné un conflit foncier. Ode, décapitée pour “sorcellerie”. Nadine, tuée après avoir allaité son bébé. Et une fillette de 9 ans, violée à Buheka… #Assez
Chaque nom, chaque histoire est un appel à l’action. Les violences faites aux femmes ne sont pas des faits divers, mais le miroir d’une société en crise.
Il est temps de briser le silence et d’exiger justice.